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QUELLE VOLAILLE POUR NOËL ?

Comme son nom l’indique on ne trouve le chapon de Noël qu’au moment des fêtes.
C’est un jeune coq ou pintadeau châtré et engraissé. La chair du chapon est particulièrement délicate et fondante, car sa graisse se développe au sein même de la viande. Elle donne le meilleur d’elle-même grâce à une cuisson lente au four, à une température douce.
Mais si vous êtes nombreux à table vous préférerez probablement la dinde de Noël, farcie aux marrons puis rôtie, qui depuis le 16e siècle, venue des Amériques, a remplacé sur les tables l’oie traditionnelle. Les plus grosses peuvent approcher les 20 kg mais celle que vous cuirez pour Noël fait généralement 3 à 4 kg, après 10 à 20 semaines d’élevage. Conseil cuisson : ne jamais percer la peau de la volaille qui aura tendance à gonfler.
Quant à l’oie, c’est la plus grosse des volailles et il faudra une grande famille pour en venir à bout. Mais si vous voulez jouer l’originalité, vos convives apprécieront sa viande restée fondante sous une couche de graisse, longuement rôtie.
En confit, magret, aiguillette, entier ou en cuisse, le canard est aussi un mets de choix pour Noël. Il a par ailleurs l’avantage de s’accommoder à merveille avec vos envies d’originalité et de sucré-salé. Rôti au four, il se pare à merveille d’épices de Noël, de fruits secs, de pommes cuites, de figue ou se cuisine à l’orange ou à l’ananas.
Vous pourrez aussi faire l’expérience d’une bonne poularde nourrie dès 3 semaines de maïs et de produits laitiers, pendant 120 jours.
A moins que vos papilles ne se tournent vers la chair fine du pigeon ou plus délicate encore d’une caille farcie de foie gras ou de cèpes...

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